14 novembre 2007
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Après avoir reçu les membres de l'opposition (2 par 2), alors qu'il les ignorait depuis 6 ans , après avoir "courtisé" certains d'entr'eux afin de les voir rejoindre "sa" majorité, Philippe Bonnecarrère passe la vitesse supérieure en ce qui concerne "le débauchage à la Sarko" . Non pas en catimini comme il avait opéré jusqu'à maintenant, mais en pleine lumière cette fois-ci....en plein conseil municipal .
Lors de la séance du CM du 12 novembre , l'actuel Maire d'Albi n'a pas hésité à souligner grossièrement les supposées contradictions entre les socialistes et les autres composantes de la gauche , il a lancé un appel, ostensible , aux sociaux-démocrates et autres modérés à le rejoindre pour les prochaines municipales.
De deux choses l'une, ou il se sent gèné aux entournures après le ralliement d'Olivier Brault et de l'UMP , ou bien il tente un coup à la Sarko pour déstabiliser l'opposition.
L'actuel maire d'Albi a habitué les albigeois au retournement de veste systèmatique.
Dans les années 90 il était en possession de la carte du RPR. RPR qu'il a renié avant les municipales de 2001 pour se faire élire "sans étiquette".
Aussitôt élu, il s'empresse de prendre sa carte au nouveau parti de Sarkozy, l'UMP.
Il y a quelques mois , il démissionne de ce parti pour se présenter aux albigeois, vierge de tout engagement partisan.
Une seule réponse s'impose dorénavent: l'union de toutes les forces de gauche et des écologistes dans une liste de large rassemblement.
Certes le caractère hégémonique du Parti Socialiste ne favorise pas cette démarche , mais les 4 partis partenaires du PS doivent être unitaires pour 5 , afin de barrer la route définitivement à cette tentative d'escroquerie intellectuelle fomentée par Philippe Bonnecarrère.
L'union...et vite ! ! !
Lors de la séance du CM du 12 novembre , l'actuel Maire d'Albi n'a pas hésité à souligner grossièrement les supposées contradictions entre les socialistes et les autres composantes de la gauche , il a lancé un appel, ostensible , aux sociaux-démocrates et autres modérés à le rejoindre pour les prochaines municipales.
De deux choses l'une, ou il se sent gèné aux entournures après le ralliement d'Olivier Brault et de l'UMP , ou bien il tente un coup à la Sarko pour déstabiliser l'opposition.
L'actuel maire d'Albi a habitué les albigeois au retournement de veste systèmatique.
Dans les années 90 il était en possession de la carte du RPR. RPR qu'il a renié avant les municipales de 2001 pour se faire élire "sans étiquette".
Aussitôt élu, il s'empresse de prendre sa carte au nouveau parti de Sarkozy, l'UMP.
Il y a quelques mois , il démissionne de ce parti pour se présenter aux albigeois, vierge de tout engagement partisan.
Une seule réponse s'impose dorénavent: l'union de toutes les forces de gauche et des écologistes dans une liste de large rassemblement.
Certes le caractère hégémonique du Parti Socialiste ne favorise pas cette démarche , mais les 4 partis partenaires du PS doivent être unitaires pour 5 , afin de barrer la route définitivement à cette tentative d'escroquerie intellectuelle fomentée par Philippe Bonnecarrère.
L'union...et vite ! ! !