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  • : André BAUP républicain de Gauche a la Mairie d'ALBI
  • : LE BLOG DU MOUVEMENT REPUBLICAIN ET CITOYEN DU TARN
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31 octobre 2007 3 31 /10 /octobre /2007 14:13

Citoyens, militants, voici quelques liens pour mieux comprendre et se mobiliser contre le traité de Lisbonne, abusivement dit "simplifié".
-  Georges Sarre, premier secrétaire du MRC : "Non au traité simplifié européen"
-  Non, non, et non le site du MRC consacré au traité de Lisbonne.
-  Le tract du MRC : Exigeons un référendum sur le "traité simplifié"
-  Le dossier sur le traité de Lisbonne sur le blog de Jean-Pierre Chevènement.
-  Le projet modificatif dans le texte, par Jean-Pierre Chevènement.
Chevènement : adopter le nouveau traité sans référendum, "un véritable coup d’Etat"

Dépêche AFP, 18 octobre 2007.
Jean-Pierre Chevènement estime que le nouveau traité européen qui doit remplacer la Constitution européenne doit être soumis à référendum et que le faire "ratifier par le Parlement" constituerait "un véritable coup d’Etat" "Le président de la République a-t-il le droit de faire ratifier par le Parlement un traité reprenant l’essentiel d’une Constitution qui a été rejetée par référendum par le peuple français ?" s’interroge M. Chevènement dans une interview au quotidien Le Parisien.
"Seul le peuple peut revenir sur un référendum populaire". "Le président de la République n’a pas le droit d’interpréter seul la volonté du peuple français. C’est un véritable coup d’Etat !", estime le président d’honneur du MRC.
Selon lui, le nouveau texte n’est pas un traité simplifié, c’est un texte qui "compte 256 pages de modifications aux traités de Rome et de Maastricht" et qui est d’"une complexité effarante". "Il est totalement inaccessible". "Toutes les critiques qui étaient faites à la Constitution peuvent l’être au traité simplifié", résume-t-il.
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29 octobre 2007 1 29 /10 /octobre /2007 18:00

Monsieur le Président de la République, 

Je vous prie de trouver ci-après le fruit d'une réflexion qui pourrait vous amener à la tenue d'un référendum sur le mini traité européen.

Au terme du rapport "Balladur" sur les institutions de la 5ème République et sur la nécessité de lui imprimer une allure plus démocratique, il apparaît à bien lire ce rapport que vous seriez constitutionnellement tenu ? si vous reteniez les termes de ce rapport ? d'organiser un référendum sur le mini traité européen.

En effet le rapport de la Commission Balladur, commission transpartisane comme vous l'avez voulue, suggère un 2ème alinéa à l'article 89 de la Constitution Française et le spécifie en ces termes : « Lorsque le projet [modification de la Constitution] ou la proposition [modification de la Constitution] a été voté par les deux assemblées en termes identiques, la révision est définitive après été approuvée par référendum organisé dans les 6 mois par le Président de la République ».

En conséquence l'adoption du mini traité européen suppose en droit constitutionnel une modification de l'article 88 de notre actuelle Constitution qui porte mention des termes de la « constitution européenne ». Or la « constitution » européenne a été rejeté par plus de 54% de nos compatriotes en 2005.

En conséquence, il apparaît que faire adopter le mini traité européen, même par la voie parlementaire, commande constitutionnellement la tenue d'un référendum pour modifier l'article 88 de la Constitution Française en vigueur.

Le rapport de la Commission Balladur renforce cette exigence démocratique ! 

On ne peut que se féléciter de cette avancée démocratique pour nos concitoyens et il serait difficillement compréhensible que le plus haut représentant de l'Etat procédant de la souveraineté de ceux-ci puisse négliger cette proposition.

Je forme donc le voeu que vous vous rangiez à la sagesse et l'expertise certaine de cette commission et au bon sens constitutionnel mais surtout que vous respectiez l'expression de la souveraineté populaire. 

Il en va d'une conception irréprochable de la démoratie que je veux croire que vous partagez.

Je vous prie de croire, Monsieur le Président de la République, à l'expression de ma haute considération. 

Koffi Ghyamphy
Secrétaire national MRC
Président du MRC37

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29 octobre 2007 1 29 /10 /octobre /2007 14:06

Jean-Pierre Chevènement invité de Christophe Barbier sur LCI lundi 29 octobre à 8h15  

Jean-Pierre Chevènement est l'invité de Christophe Barbier dans son émission sur LCI de 8h15 à 8h25.
L'émission est podcastée ci-dessous.



Rédigé par Chevenement.fr le 29 Octobre 2007 à 09:10 | Permalien | Commentaires (1)
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25 octobre 2007 4 25 /10 /octobre /2007 09:30

Jean-Pierre Chevènement invité de France 5 à 17h30 mercredi 24 octobre

Il intervenait sur le Traité de Lisbonne dans l'émission C à dire, présentée par Thierry Guerrier, entre 17h30 et 17h45.



Mercredi 24 Octobre 2007
Chevenement.f
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23 octobre 2007 2 23 /10 /octobre /2007 17:14

Les fédérations de la Fonction publique, CGT, CFDT, FO, FSU, UNSA, SOLIDAIRES, CFTC,
constatent que les deux reLvendications prioritaires, le pouvoir d’achat et l’emploi public, ne sont
toujours pas prises en compte par le gouvernement.
Face aux exigences d’augmentation de la valeur du point d’indice pour un réel maintien
du pouvoir d’achat pour tous, et de refonte globale de la grille indiciaire, sont évoquées
par le gouvernement des « mesures concrètes et ciblées » sur une partie des agents
de la Fonction publique.
Face aux exigences d’un service public de qualité et de proximité, répondant encore
mieux aux besoins de toute la population, basé sur des emplois publics statutaires, il
est répondu par le Premier ministre : « Moins de services, moins de personnels, moins
d’Etat », confirmé par la suppression de plus de 22 000 postes dans le projet de
budget 2008.
Devant le refus persistant du gouvernement de répondre aux exigences et face à ces reculs
inacceptables pour les personnels et les usagers, nos organisations considèrent que l’heure est
venue d’une riposte d’envergure pour obtenir satisfaction.
Dans la continuité de leurs démarches, les organisations appellent tous les agents des trois
versants de la Fonction publique (Etat, territoriaux, hospitaliers) à faire grève, à se rassembler
et à manifester le 20 novembre 2007 (jour du vote du budget à l’Assemblée Nationale) dans
toute la France, sur nos exigences en matière de salaires, d’emploi public, de défense du
service public, de ses missions et du statut de la Fonction Publique

Paris, le 22 octobre 2007
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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 13:33
Communiqué de presse
André Baup, porte-parole du Mouvement Républicain et Citoyen du Tarn
NOUS L’AVONS JETE PAR LA PORTE, IL REVIENT PAR LA FENETRE
Le projet de constitution européenne a été rejeté le 29 mai et le 3 juin 2005 par le peuple français et le
peuple néerlandais.

 

Il l'a été parce que l'Europe communautaire ne protège pas de la mondialisation financière, parce qu'elle fait l'impasse sur les nations, lieux de l'expression démocratique des citoyens, et parce qu'elle aligne l'Europe sur la politique guerrière des Etats-Unis.

Un projet de “traité simplifié” a été adopté au Conseil européen du mois de juin, sous l'impulsion d'Angela Merkel, la chancelière allemande, et de Nicolas Sarkozy, le président français.

Après avoir été mouliné par les “spécialistes”, il est proposé pour être adopté au Conseil européen des 18 et 19 octobre 2007 à Lisbonne.

 

LE PROJET DE TRAITE SIMPLIFIE N'EST PAS SIMPLIFIE DU TOUT
Ce sont près de 1000 pages de modifications et d'ajouts aux traités existants qui constituent le projet dit de “traité simplifié”.

Le projet de constitution européenne était difficile à comprendre pour les citoyens des pays européens, malgré un effort de certaines organisations pour en expliquer le contenu : le projet de traité simplifié est tout simplement illisible. Il suffit d'en consulter le texte sur le site de la Communauté Européenne pour s'en apercevoir.

LE NOUVEAU PROJET DE TRAITE A LES MEMES DEFAUTS QUE LE PROJET DE CONSTITUTION EUROPEENNE
On y retrouve tout : un nouveau calcul des droits de vote des Etats membres qui place la France en minorité et permet des majorités contre elle ; des dispositions économiques qui restent très favorables aux intérêts de ceux qui spéculent au détriment des intérêts de ceux qui travaillent ; la création d'un ministre des affaires étrangères autonome, qui s'alignera nécessairement sur la politique américaine.

Et, bien sûr, il ne comporte rien qui amorce une réorientation de la politique européenne : rien qui permette de lutter contre le dumping social, la concurrence par les bas salaires et la régression des droits des travailleurs ; rien qui permette de protéger les entreprises européennes contre les excès des pays émergents qui inondent nos marchés ; rien qui rende possibles des coopérations renforcées entre les Etats volontaires pour préparer l'avenir, par exemple sur l'énergie ; rien qui permette aux citoyens des Etats membres et à leurs représentants de peser sur les décisions prises.

CE QU'UN REFERENDUM A DEFAIT, SEUL UN REFERENDUM PEUT LE REFAIRE
Deux pays fondateurs de la Communauté Européenne ont vu leurs peuples rejeter clairement le projet de Constitution Européenne par référendum : la France et les Pays-Bas.

Mais le projet des chefs d'Etat et de gouvernement est d'éviter la ratification par le referendum, pour contourner les peuples.

Que vous ayez voté “OUI” ou voté “NON” au référendum du 29 mai 2005, vous devez exiger qu'un débat ait lieu et que la question soit à nouveau posée par référendum. Le peuple français doit, comme les autres peuples européens, être consulté.

L'EUROPE MERITE MIEUX QU'UN TRAITE RATIFIE DANS LE DOS DE SES PEUPLES
Pour donner un nouveau dynamisme à la construction européenne.
Pour l'orienter vers les besoins exprimés par les peuples d'Europe.
Pour peser sur l'avenir de l'Europe.
Exigeons un référendum sur le “traité simplifié”.

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10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 16:09

La droite albigeoise veut-elle refaire le « coup de Sarkozy » pour les prochaines élections municipales ? Le débauchage !

Le débauchage de « personnalités » de gauche, au niveau national, n’a pu réussir qu’avec la complicité de certains sociaux libéraux qui penchaient déjà du côté où ils allaient tomber. Ils ont démontré ainsi que le fil qui sépare les sociaux libéraux des ultra-libéraux est particulièrement ténu.

Dans la rubrique « Les échos » ,La Dépêche du Midi du 10 octobre laisse entendre que certains élus de gauche dont le MRC seraient « courtisés » par la droite albigeoise. Le MRC tient à réaffirmer sa volonté de construire une liste de rassemblement des partis de gauche.

Dans cet esprit une rencontre a eu lieu le lundi 8 octobre au plan national entre les responsables du PS et du MRC.

 Cette rencontre a été l'occasion de discuter de deux sujets essentiels : la refondation de la gauche et les élections municipales et cantonales à venir.

D'une part, les deux partis sont convenus de travailler ensemble, dans un esprit de large rassemblement, à la création d'une structure permanente de liaison. Cette structure réunirait les partis de gauche qui coopèrent dans les collectivités et au Parlement.

D'autre part, les deux partis sont convenus de rechercher un accord politique et électoral pour les échéances à venir.

Le Mouvement Républicain et Citoyen du Tarn se situe parfaitement dans cet esprit  en particulier  à la veille des municipales et cantonales de mars 2008

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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 23:00
L'émission dure 7 minutes et sera podcastée sur ce blog.
Jean-Pierre Chevènement invité de France Info lundi 8 octobre à 18h15
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2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 18:53
Améliorer la réussite scolaire de tous les jeunes, il n’y a rien de plus urgent !

 



Signer la pétition   -   Voir les signataires



 

Monsieur le Président,

Vous semblez découvrir ce que nous n’avons cessé de dénoncer : après des années de progrès constants, de hausse du niveau de formation des jeunes, le système éducatif peine encore à remédier à l’échec scolaire de milliers de jeunes en difficulté.
Mais cette crise est d’autant plus urgente à traiter qu’elle s’inscrit dans une société qui voit grandir les inégalités sociales et territoriales. S’il y a des difficultés dans l’Ecole, elles renvoient aussi, tout le monde le sait, à des difficultés vécues au quotidien hors de l’école par des milliers d’enfants et de jeunes. Non, tous les enfants n’ont pas les mêmes chances au départ, tous les jeunes n’ont pas les conditions de vie, de santé, d’équilibre qui leur permettent, sans accompagnement, d’accéder aux apprentissages, de se projeter dans l’avenir.
Aider efficacement les jeunes les plus en difficulté, former les enseignants pour cela, combattre les inégalités sociales et le danger que représenterait l’instauration d’une Ecole à deux vitesses, ouvrir un avenir positif pour tous les jeunes, rien de plus difficile, rien de plus compliqué sans doute, mais rien de plus indispensable pour les jeunes, pour nous, pour l’avenir du pays. C’est pourquoi l’Ecole doit réussir à se transformer.
C’est ce défi là que doit relever le Service Public d’Education, parce qu’il est le seul à pouvoir le faire, pour tous, et pas seulement pour les plus favorisés ou les « méritants ».
C’est une question d’avenir, c’est un enjeu de démocratie.
« Egalité des chances » ou « ambition-réussite », ces grands mots, tout comme les polémiques stériles sur les méthodes d’enseignement, ne peuvent tenir lieu de politique de transformation démocratique de l’Ecole.
Au contraire, supprimer des milliers de postes, réduire l’offre d’enseignement pour tous, libéraliser la carte scolaire pour laisser se développer des ghettos scolaires, jouer la concurrence entre établissements, annoncer un collège éclaté, favoriser l’école privée, c’est menacer gravement le service public. Comment avancer avec une politique guidée par la seule réduction des coûts ?
Tristement historique, la suppression de 11 200 emplois dans l’Education nationale (et peut-être plus dans les années à venir), s’ajoutant aux milliers déjà subies, annonce encore plus de précarité, de difficultés, pour tous, personnels, familles, élèves. C’est inacceptable.
L’école, les enfants et les jeunes méritent mieux.
L’avenir des enfants d’aujourd’hui, leur formation de citoyen et leur insertion professionnelle ne peuvent pas se réduire à un problème de « rentabilité » du système, encore moins s’organiser en sélections successives avant le collège, les lycées ou l’université.
Leur avenir se joue dès la maternelle, il se joue dans des classes moins chargées, il se joue dans un collège pour tous, il se joue dans la mise en oeuvre de pédagogies et d’organisations prenant en compte chacun, permettant l’accès de tous aux savoirs, à la culture. Il se joue certes avec des études dirigées, mais aussi et surtout avec une meilleure cohésion de la communauté éducative, des enseignants formés, des personnels pour accompagner, aider à tous les niveaux enfants et adolescents.
Nous voulons une politique éducative ambitieuse faisant avancer notre École publique en mettant au cœur la réussite de tous les jeunes. Nous voulons pour cela d’autres choix, un autre budget, une autre politique.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le président de la République, l’expression de notre haute considération.



Cé, Ceméa, CRAP-Cahiers pédagogiques, FAEN, FCPE, FERC-CGT, FIDL, FSU, GFEN, ICEM-Pédagogie Freinet, Ligue de l’enseignement, SGEN-CFDT, UNEF, UNL, UNSA Education.

 


Signer la pétition - Voir les signataires
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2 octobre 2007 2 02 /10 /octobre /2007 14:43

Mobilisations sociales

Appel des partis de gauche et écologistes

 

La politique menée par le président de la République et sa majorité est à la fois profondément injuste et totalement inefficace.

 

Les 15 milliards d’€ de cadeaux fiscaux distribués aux plus riches cet été n’ont eu aucun impact sur l’emploi. Par contre, la facture va être présentée dès cet automne à tous les citoyens, et avant tout aux plus modestes, tandis que l’état des finances publiques se dégrade.

 

Nicolas Sarkozy met en œuvre une politique fondée sur la mise en cause des protections sociales et du droit du travail. Cette politique accroît les inégalités et la précarité pour tous, salariés mais aussi chômeurs, retraités, étudiants, jeunes. Les malades sont aussi touchés, par des franchises médicales qui feront peser un impôt supplémentaire sur leurs épaules au prétexte de financer les dépenses nécessaires à la recherche contre la maladie d’Alzheimer.

 

Face à cette politique, les partis de gauche et écologistes soutiennent les mobilisations unitaires d’ores et déjà prévues et à venir, pour imposer au gouvernement de réelles négociations. Ils se sont mobilisés pour exprimer leur refus des franchises médicales, le 29 septembre. Ils seront aux côtés des prochaines mobilisations à l’initiative des syndicats pour mettre en échec la politique antisociale de la droite.

 

Ils soutiennent une tout autre politique fondée sur la solidarité, la justice sociale, l’égalité, une autre répartition des richesses et le respect de la dignité :

 

-         Concernant les retraites, en opposition avec la politique du gouvernement, nous proposons la pérennisation du système de répartition et la prise en compte de la pénibilité du travail. En outre, il faut revaloriser tout de suite les petites retraites et des pensions de réversion. Des ressources nouvelles peuvent être trouvées du côté des revenus financiers et des stock-options.

 

-         Sur le pouvoir d’achat, enjeu essentiel à la fois pour la vie quotidienne et pour l’économie, la priorité doit être à la revalorisation des salaires, des retraites et des minima sociaux.

 

-         Les services publics doivent être renforcés, rénovés et démocratisés, notamment pour l’éducation, à l’opposé de la politique de suppression de postes du gouvernement. Il faut développer un réel service public de la petite enfance. Il est urgent de renforcer la recherche publique et l’innovation, d'investir massivement dans le soutien aux énergies renouvelables et aux économies d’énergie, de financer la construction massive de logements sociaux.

 

-         Le droit du travail doit être défendu et les pouvoirs des salarié-e-s étendus.

 

-         La politique de l'immigration doit respecter les droits et la dignité des personnes. Nous combattons la politique d’immigration de Nicolas Sarkozy et la chasse aux migrants. Le honteux recours aux tests ADN doit être abrogé définitivement.

 

Ensemble, comme dans les luttes contre le CPE, nous pouvons faire reculer la droite.

 

 

Les Alternatifs – Convergence citoyenne – MARS-Gauche républicaine – Mouvement républicain et citoyen – Parti communiste français – Parti socialiste.

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