Parmi les mesures qu?il envisagerait de soumettre au parlement s?il était élu à la présidence de la République,
repris par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr
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Parmi les mesures qu?il envisagerait de soumettre au parlement s?il était élu à la présidence de la République,
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Les socialistes européens exhument le traité A Nantes, les présidents des groupes parlementaires PS le jugeaient toujours d'actualité. Par Jean-Dominique MERCHET QUOTIDIEN : Vendredi 20 octobre 2006 - 06:00 Nantes envoyé spécial Caduc ou pas caduc ? Les socialistes européens se sont affrontés, hier à Nantes, pour savoir si le traité constitutionnel européen, rejeté en 2005 par les électeurs français, restait toujours d'actualité. D'un côté, les Français pensent que non et qu'il faut passer à autre chose. De l'autre, tous les invités à cette réunion des présidents de groupes parlementaires socialistes, à laquelle ni les Britanniques, souvent eurosceptiques, ni les Hollandais, dont les électeurs ont également voté non, ne participaient. Chez les socialistes français, quel qu'ait été leur choix lors du référendum, l'unanimité est totale. «Il me paraît nécessaire que nous prenions acte que le traité est caduc et que nous travaillions ensemble à une nouvelle approche», a lancé Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée, ajoutant qu' «il n'est pas possible de faire revoter nos concitoyens sur le même texte». Les socialistes des seize pays qui ont ratifié le texte ne l'entendent pas de cette oreille. «Dire que le traité est mort est très périlleux», a prévenu l'Allemand Jo Leinen. «Ceux qui ont dit oui sont bloqués par leur oui, comme la France est bloquée par son non», constatait le député luxembourgeois Ben Fayot, alors que l'Espagnol Carlos Carnero tonnait en direction des Français : «Vous ne pouvez pas faire que votre débat national s'impose à tous en Europe. Nous ne sommes plus dans les années 50 !» L'eurodéputée portugaise Edite Estrela affirmait même que «le contenu de la troisième partie du traité, c'est très important». Or, c'est précisément cette partie, consacrée aux politiques européennes, qui, en France, a fait l'objet des critiques les plus vives chez les nonistes. L'ancien conventionnel européen Robert Badinter a rappelé le contenu du dernier article du traité. Il prévoyait que le texte «entre en vigueur le 1er novembre 2006», dans dix jours... «Cela tombait le jour des morts», a lâché un député luxembourgeois. http://www.liberation.fr/actualite/politiques/211882.FR.php |
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NON A LA SUPPRESSIONDU RODEZ < ->PARIS PARIS <-> RODEZ DIRECT | |
PETITION | |
Depuis de nombreuses années, la Direction S.N.C.F. envisage la suppression des trains directs RODEZ <-> PARIS, LE TRAIN MILLAU <-> PARIS ETANT DEJA SUPPRIME Et le CARMAUX <-> PARIS EGALEMENT Aujourd’hui, LA SNCF annonce à nouveau son intention dès LE 10 DECEMBRE 2006 de supprimer LE RODEZ <-> PARIS, véritables « outils » d’aménagement du territoire pour notre région. Après la suppression du projet P.O.L.T. et un projet T.G.V. à l’horizon très incertain, nous ne pouvons accepter ces décisions unilatérales.
Nous demandons à la S.N.C.F., entreprise de service public :
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Signez la pétition en ligne ou téléchargez le document au format word, remplissez-le et renvoyez-le à l'adresse qui y est mentionnée. | |
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Liste des 119 signataires | Aller sur le site |
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Nicolas Sarkozy a remis ça. Il s'est à nouveau pris pour un grand défenseur de la République. C'était hier, lors d'un discours à Périgueux. Plus républicain que lui, tu meurs. Enfin c'est ce que lui, et ses conseillers, veulent essayer de faire croire.
L'entreprise ne date pas d'hier. Elle commence le 9 mai dernier exactement, lors du discours que Nicolas Sarkozy a tenu à Nîmes. Elle continue sur le même registre le 22 juin à Agen et le 3 septembre à Marseille. Les Phocéens ont eu la surprise d'entendre dans la bouche du ministre de l'Intérieur que « sans elle (la République) vous aurez le communautarisme, la loi des tribus, chacun renvoyé à ses origines ethniques, à sa religion ». C'est pourtant le même Nicolas Sarkozy qui s'était fait le chantre de la discrimination positive et des préfets musulmans.
Hier à Périgueux, le président de l'UMP a fait appel aux grands noms de l'histoire française, comme pour tenter de donner une légitimité à ses nouveaux habits de Marianne : « La République fraternelle c'est celle d'Eugène Leroy et des croquants, celle de Mirabeau et des droits de l'homme, celle de Victor Hugo et des « Misérables », celle de Jules Ferry et des instituteurs, celle de Jaurès et des dreyfusards, celle du Général De Gaulle et des Français libres. »
Le modèle social français, que Nicolas Sarkozy s'est évertué à enfoncer à maintes reprises, s'en trouve aujourd'hui réhabilité à ses yeux : « Il y a bien une exception française à laquelle il est légitime que nous soyons attachés(…). Cette exception tient en trois mots : la Nation, la République, l'Etat. » Mieux, il déclare que « L'Etat s'abîme dans l'impuissance, la nation dans la repentance, la République dans le communautarisme, les discriminations, le chômage et la pauvreté. »
Les lieutenants tiennent un autre discours
Pourtant, Nicolas Sarkozy réussit l'exploit de se contredire dans le même discours quand il rappelle, quelques minutes après, son attachement à la discrimination positive qu'il oppose à la « discrimination négative ». Seul changement, il ne définit plus sa discrimination positive en fonction de l'origine, mais veut l'appliquer plus largement : « Je ne veux pas faire une discrimination positive sur des critères ethniques qui serait la négation de la République. Mais je veux que sur la base de critères économiques, sociaux, éducatifs, on mette tous les moyens nécessaires pour combler des écarts qui sont devenus insupportables et qui mettent en péril la cohésion nationale. » Problème : ses lieutenants tiennent un autre discours. Roselyne Bachelot déclarait le 30 avril 2006 à l'assemblée générale du Conseil représentatif des associations noires (CRAN) que « la discrimination positive est au coeur de l'engagement de Nicolas Sarkozy ».
Ce virage sémantique du candidat annoncé de l'UMP à la présidentielle peut surprendre. Pour comprendre, il faut voir du côté d'Henri Guaino. Ce proche de Philippe Seguin a rejoint Emmanuelle Mignon, jugée peut-être trop libérale, pour la préparation des discours de Nicolas
Urgent : sauver l’hebdomadaire Politis
samedi 14 octobre 2006.
On le constate chaque jour un peu plus : la presse française va mal, a fortiori celle qui ne brasse pas dans le sens du vent. Marianne tirait d’ailleurs la sonnette d’alarme il y a peu. Parmi les plus menacés à brève échéance, on trouve le magazine Politis : placé en dépôt de bilan depuis le 8 août, l’hebdomadaire doit aujourd’hui faire face à une situation d’urgence pour assurer sa survie. Après le retrait inattendu du seul repreneur pressenti pour son plan de relance, le personnel, grâce à l’association Pour Politis qu’il vient de créer, a décidé de sauver son journal avec le soutien de ses lecteurs, de ses amis et de tous ses sympathisants. Un appel est donc lancé afin de réunir la somme d’un million d’euros d’ici fin octobre.
« Ce sont vos aides financières qui contribueront à sauver Politis, l’une des dernières voix indépendantes du paysage médiatique français. Vos chèques seront déposés sur un compte bloqué et, en cas d’échec, leurs sommes vous seront bien sûr intégralement remboursées », précise l’association. Les premiers engagements reçus montrent que l’objectif n’est pas utopique puisque, hier à 15 heures, 243 400 euros de dons avaient été collectés.
Le site Internet de l’association Pour Politis [1] informera jour après jour de l’état de la situation et d’entretenir le lien entre le personnel et les lecteurs, pour la pluralité de la presse.
[1] Adresse : www.pour-politis.org.
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En trois ans et demi, le taux de mortalité brut est passé de 5,5 pour mille habitants, à 13,3 pour mille par an. Une progression qui constitue une véritable urgence humanitaire, selon les auteurs de l'étude. Même si de tels taux peuvent être courants en temps de guerre, la durée de ce conflit ainsi que l'importance de la population affectée (27 millions d'habitants) font de cette guerre l'une des plus meurtrières depuis le début du XXe siècle, selon les auteurs.
NDLR : Il est parfois bien triste de constater, et sans satisfaction aucune, combien - Ô Combien - Jean-Pierre Chevènement avait une fois de plus raison sur cette action politique désastreuse.
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Le ministre de l’Intérieur témoigne, ces derniers jours, d’une grande nervosité. Il se comporte comme s’il était aux abois. Déjà, sa prestation aux journées parlementaires ressemblait à une autojustification. Lundi, il s’est cru obligé de répondre à Dominique de Villepin sur les antennes d’une radio l’invitant vertement à se déclarer s’il avait vraiment l’intention de se présenter. Le président de l’UMP supporte mal une baisse de popularité dans une enquête d’opinion, certes importante, mais qui doit être relativisée au regard d’autres sondages qui le maintiennent à un très haut niveau. Le ministre de l’Intérieur, fort de l’expérience, imagine qu’aucun coup ne lui sera épargné de la part d’une partie de son propre camp.
Depuis son voyage aux Etats-Unis, critiqué par certains députés voire par certains de ses proches, il fait preuve d’une fébrilité que ne justifie pas une popularité qui demeure forte tant dans l’opinion que dans son propre parti mais dont ses adversaires font un signe évident de faiblesse.
François Mitterrand sur la peine de mort ( émission "Cartes sur table" - Antenne 2 16 mars 1981 )
"Sur la question de la peine de mort, pas plus que sur les autres, je ne cacherai pas ma pensée. Et je n'ai pas du tout l'intention de mener ce combat à la face du pays en faisant semblant d'être ce que je ne suis pas. Dans ma conscience profonde, qui rejoint celle des Eglises, l'Eglise catholique, les Eglises réformées, la religion juive, la totalité des grandes associations humanitaires, internationales et nationales, dans ma conscience, dans le for de ma conscience, je suis contre la peine de mort [...] Je suis candidat à la Présidence de la République et je demande une majorité de suffrages aux Français, et je ne la demande pas dans le secret de ma pensée. Je dis ce que je pense, ce à quoi j'adhère, ce à quoi je crois, ce à quoi se rattachent mes adhésions spirituelles, mon souci de la civilisation : je ne suis pas favorable à la peine de mort."
Ségolène Royal sur l'entrée l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne ( Conférence de presse à l'Assemblée nationale -11 septembre 2006 )
"Mon opinion est celle des Français. car c'est le peuple français qui doit se prononcer"
Deux conceptions de la politique à vingt-cinq ans de distance. Quelle est votre propre sentiment: une élection se gagne-t-elle en observant les sondages ou en affirmant une ligne politique ?
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Marianne2007.info : Comment analysez-vous la situation interne au Parti Socialiste ? A-t-il tiré selon vous les leçons des 21 avril 2002 et 29 mai 2005 ?
Jean-Pierre Chevènement : Le Parti socialiste a été comme tétanisé au soir du 21 avril 2002. La défense du « bon bilan » a pris la place d'une réflexion sur les causes véritables de la défaite et notamment l'éloignement des couches populaires. Il est vrai que ce « devoir d'inventaire » eût exigé un regard critique sur la période antérieure qui s'était achevée en 1993 par une défaite encore plus spectaculaire. Il était plus commode d'attendre des erreurs de la droite un retour au pouvoir par le jeu de ce que j'appelle l'effet « essuie glaces ».
Cette carence explique que sur beaucoup de sujets essentiels : l'Europe, la nation, l'insécurité, la mondialisation, le Parti socialiste soit encore loin d'avoir les idées claires … Les débats internes entre les trois candidats à la candidature le montrent à l'évidence.
Quels sont les grands enjeux de politique intérieure et de politique internationale qui pourraient motiver votre candidature à l'élection présidentielle ?
Les grands enjeux sont au nombre de trois :
1. Le redressement de l'Europe, non pas par une « Constitution » qui n'a pas de sens (dès lors que l'Europe rassemble non pas un peuple, mais trente), mais d'abord par l'instauration d'un véritable gouvernement économique de la zone euro – avec réforme de la Banque Centrale – afin de relancer la croissance et de faire reculer le chômage, et ensuite par l'affirmation d'une Europe européenne, c'est-à-dire indépendante et non pas vassale, pour servir la cause du dialogue, du développement et de la paix dans le monde.
2. Il convient ensuite de restaurer la France et la République dans l'esprit de nos concitoyens. Des principes et des valeurs de la République doivent découler toutes nos politiques. Ne démolissons pas la France qui est le seul vrai levier dont nous disposons en Europe et dans le monde. Le peuple français doit retrouver confiance en lui-même. Cela passe par une éthique républicaine impeccable.
3. Enfin, je mettrai l'accent sur le rétablissement de l'Etat républicain et de son rôle stratégique pour préparer l'avenir. Comme le disait Pierre Mendès-France : « gouverner, c'est choisir ».
Votre candidature et votre score en 2002 vous ont valu d'être mis à l'écart par le PS. Etes-vous prêt à être à nouveau candidat dans une telle configuration ?
Je n'ai pas vocation à servir éternellement de bouc émissaire. Je ne me suis pas laissé abattre par une campagne insidieuse et lâche. L'éloignement des couches populaires est le vrai problème que les socialistes ont à résoudre. S'ils m'avaient écouté davantage, ils l'auraient peut-être mieux résolu. Sur tous les sujets (l'Europe, les délocalisations industrielles, la Corse et la République, la délinquance, l'Irak, etc.) avoir raison avant les autres est un grand tort.
Une campagne présidentielle est l'occasion de situer les vrais enjeux et de proposer des choix. Le parti socialiste pas plus que l'UMP n'ont cherché depuis 2002 à modifier la règle selon laquelle seuls les deux candidats arrivés en tête au premier tour peuvent se maintenir au second. La raison en est simple : cette règle les sert, en leur permettant d'imposer leurs vues qui souvent sont les mêmes, par exemple sur les critères de Maastricht et sur la « Constitution européenne » …
J'espère que les socialistes sauront tenir compte de la volonté du peuple telle qu'elle a été exprimée le 29 mai 2005 et que nous saurons, ensemble, nous tourner vers l'avenir. Quant à ma candidature, que je n'ai pas encore arrêtée définitivement, elle serait aussi légitime que celle de Mme Voynet ou de Mme Buffet. Il est évidemment plus facile de crier « 21 avril ! 21 avril ! » que de se remettre en cause. Mais alors il faut accepter le débat démocratique et la sanction du vote des Français.
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Mardi 10 Octobre 2006
Propos recueillis par Julien Landfried
Source :
http://www.marianne2007.info publié par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr