publié par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr
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Blog socialiste et républicain |
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C.B. www.observatoiredeleurope.com publié par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr
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"Pendant la guerre, un camarade m'a dit: +si je meurs, vous penserez à moi+ et je n'ai jamais oublié", a expliqué Lazare Ponticelli qui a promis de venir l'année prochaine. "Si je peux", a-t-il ajouté. "Il dit tous les ans que c'est la dernière année et tous les ans, il revient! Ce matin, il a filmé un message pour ses deux arrière-arrière-petits-fils au cas où il ne les reverrait pas. Sa famille compte beaucoup pour lui", a déclaré Jacques Bonin, le mari de sa petite-fille Nadine, 54 ans, absente samedi. Pour le traditionnel dépôt de gerbes au Monument aux morts, M. Ponticelli, arrivé en fauteuil roulant, a tenu à se lever pour déposer lui-même un bouquet. Soutenu par deux personnes et accompagné de Jean-Luc Laurent, le maire (MRC) du Kremlin-Bicêtre, et de Bernard Tomasini, le préfet du Val-de-Marne, il a déposé quelques oeillets sur une plaque où était gravé: "Pour la liberté". Ressortissant italien naturalisé en 1939, Lazare Ponticelli est le dernier légionnaire qui a participé à la Première Guerre mondiale. Une délégation de la légion étrangère a assisté à la cérémonie et lui a rendu hommage. "La légion ne vous a pas oublié. Nous sommes très émus d'être avec le dernier légionnaire survivant de 14-18", a dit le lieutenant-colonel Chistian Rascle en s'adressant au vieil homme. "Lazare Ponticelli est le symbole d'une volonté d'appartenir à la France. C'est un magnifique exemple de quelqu'un qui s'engage pour remercier et défendre le pays qui l'a accueilli", a expliqué à l'AFP Jean-Luc Laurent, le maire du Kremlin-Bicêtre, où M. Ponticelli vit depuis 1922. Lazare Ponticelli n'a que 9 ans et demi quand il part tout seul de son village natal, près de Bettola (nord de l'Italie), pour fuir la misère et gagner la France. En 1914, à 17 ans, il s'engage dans les rangs du 1er Régiment de marche de Sidi-Bel-Abbès (Légion étrangère). En 1915, il est retrouvé par l'Italie pour laquelle il sera mobilisé jusqu'en 1920. Revenu en France, il lance en 1921, avec deux de ses frères, une entreprise de montage et d'entretien de cheminées d'usine. La société Ponticelli Frères existe toujours et compte 2.000 salariés pour un chiffre d'affaires (2005) de 300 millions d'euros. publié par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr |
Par Netpolitique.net[1]
Le site officiel de campagne de Jean-Pïerre Chevènement est désormais en ligne. Le site (un blog amélioré) est finement réalisé et plutôt bien outillé en matière de net-campagne.
Le module "Faire campagne sur le Net" en particulier s'avère très complet.
Alors que l'on pouvait s'attendre à ne trouver que 3 ou 4 bannières téléchargeables, le module propose en réalité des instructions très complètes pour optimiser la syndication, inciter à récupérer les vidéos du candidat, dûment déposées chez DailyMotion, et propose une URL spéciale pour suivre la campagne sur mobile. On y fournit même les indications nécessaires à la création d'un blog de soutien.
Le blog met également en avant "sa" blogosphère qui reste pour l'instant minimaliste, mais l'inverse serait étonnant quelques jours après l'annonce de sa candidature. De toute évidence, le site n'a pas été bricolé à la va vite, comme d'autres.
Une fausse note cependant : le système des dons en ligne pour soutenir le candidat est une bonne idée, mais l'utilisation du système Paypal pour ce faire est explicitement interdit par la Commission Nationale des Comptes de Campagne, comme nous l'avait récemment indiqué son président ;-).
Il est décidemment vraiment temps de revoir le Code électoral de fond en comble.
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Confidence de Valéry Giscard d?Estaing à ses visiteurs : « je suis presque certain que
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Jean-Pierre Chevènement a décidé de faire « turbuler » à nouveau le système, et sera candidat à l’élection présidentielle : il considère que le projet socialiste est « ambigu, insuffisant voire dangereux », et qu’il est dès lors de sa responsabilité que les électeurs se voient « présenter une offre convenable » pour voter. Il aurait rassemblé plus de trois cents parrainages d’élus, retenu des locaux de réunion, a lancé un site Internet dédié, bien amorcé le travail préparatoire d’une campagne présidentielle qu’il a déjà expérimentée en 2002, obtenant 5,33 % des suffrages. Les relations avec le Parti socialiste n’ont pas été de nature à le dissuader : Georges Sarre a vivement souligné « l’indignité » de la proposition de trois ou quatre sièges de députés réservés au Mouvement républicain citoyen pour les prochaines élections législatives. Le Parti socialiste semble négliger cette candidature qui s’inscrit en opposition à son programme.
La « voix utile », selon Jean-Pierre Chevènement, tracera trois pistes politiques essentielles : la refondation d’une Europe de peuples souverains, qui soit indépendante et active dans la lutte pour la paix mondiale ; la consolidation d’une éthique républicaine qui seule peut donner sens à l’engagement citoyen et confiance en une vie démocratique dans le cadre d’une nation ; une restructuration nécessaire de l’Etat pour progresser vers les deux objectifs précédents.
Ces axes politiques correspondent à ce qu’il a défendu depuis qu’il exerce des responsabilités, avec une âpreté qui l’a conduit à démissionner quand il était en désaccord avec les autres responsables politiques : c’était en 1983, quand, ministre de la recherche et de la technologie, s’est opposé à la politique d’austérité du gouvernement de Pierre Mauroy ; puis en 1991, quand il s’est dressé, en tant que ministre de la défense, contre l’engagement français dans la première Guerre du Golfe ; enfin en 2000, ministre de l’intérieur, il n’a pu cautionner les Accords Matignon, qui accordaient une reconnaissance aux mouvements nationalistes corses sans que la question de la violence ait été préalablement résolue.
« Ce sera difficile », a-t-il dit lors de l’interview sur TF1 en annonçant sa candidature, « mais je conquerrai mon espace ».
repris par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr
Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du Mouvement républicain et citoyen (MRC), a annoncé lundi soir sur TF1 qu'il serait candidat à l'élection présidentielle de 2007.
"Oui, j'ai pris la décision d'être candidat à la présidence de la République", a déclaré l'ancien ministre. "Cette décision s'est imposée à moi progressivement et avec la force de l'évidence".
"Notre pays va mal, on a l'impression que la France fout le camp", a ajouté le maire de Belfort, citant "Thomson, Pechiney, Arcelor" ou encore "les délocalisations industrielles, avec ces employés qu'on licencie".
"Ce sera difficile, mais je conquerrai mon espace, je ferai en sorte que la gauche soit en mesure de répondre aux attentes qui sont immenses dans notre pays".
VOIR LA VIDEO : http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,3351590,00-jean-pierre-chevenement-invite-journal-20h-.html
Source tf1.fr
repris par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr
Et si Chevènement était l'homme de la synthèse des aspirations des Français ? Notre modèle républicain français est en constante évolution ; il est à construire plutôt qu'à détricoter.
Alors que les débats du PS virent à la foire d'empoigne et masquent mal le malaise qui envahit ce parti, alors que les médias veulent replonger la tête des citoyens dans le tout sécuritaire, ce diable de Jean-Pierre Chevènement fait désirer sa candidature à l'élection présidentielle et propose dans son ouvrage, La faute de M. Monnet, une voie vers l'Europe des républiques.
Je souhaite la candidature de Jean-Pierre Chevènement. D'ailleurs, comme il est un des fondateurs du PS, pourquoi ne se désisterait-on pas pour lui à gauche ?
Dans le contexte de ces dernières années, notamment depuis 2001, la société est en proie à une grande violence, nous avons collectivement besoin de nous retrouver autour d'un projet de société plus égalitaire, et autour des puissants principes de la laïcité... Comment mieux unifier la gauche et le pays tout entier qu'en élisant un président autour des valeurs de la nation, cette république sociale, unique et indivisible que devrait être la France, et qu'elle n'est plus tout à fait ?
Qui mieux que Jean-Pierre Chevènement, en effet, dont on connaît l'expérience et la synthèse, dans un projet pour la France et pour l'Europe, rendra la fierté aux entités nationales, dont les symboles et la réalité sont littéralement bricolés en France depuis quelques septennats, dérobés en Europe sous nos yeux par des années de privatisations, de discours lepénistes et de gesticulations impuissantes face à la méthode "à la va-comme-je-te-pousse" de Bruxelles ?
Dans les discours des présidentiables de la gauche, peu de traces d'une volonté politique industrielle et commerciale, ou encore de politique étrangère sérieuse qui garantirait la France de ne pas se trouver à la remorque des Etats-Unis. Pas beaucoup de traces non plus d'une volonté d'indépendance énergétique à long terme face aux gouffres de la déplétion pétrolière à venir.
Qui mieux que Jean-Pierre Chevènement pourrait se faire le porte-voix des "nous autres", Français de toutes souches et "Français de préférence" aussi, nous autres employés flexibilisés, nous autres citoyens devenus ombres de nous-mêmes, "citoyens dessaisis au profit de la toute-puissance des marchés"...
Qui d'autre mieux que ce Chevènement-là, cinq fois ministre, expert des questions du Moyen-Orient et de géostratégie, mais aussi à l'initiative de dispositifs proches des citoyens -comme cette police de proximité que Sarkozy a révoquée- puis rapporteur de quelques grandes lois sous la Ve République, comme celle de l'intercommunalité ou la "parité hommes-femmes", qui d'autre mieux que lui devrait se présenter ?
Qui d'autre de mieux devrait occuper le terrain dans la situation de déliquescence sociale et politique où nous sommes ?
Réveillons-nous ! Nous sommes au temps inouï où un cavalier ministre de l'Intérieur fait du steeple-chase à Washington au-dessus de nos têtes, passant outre cinquante années de politique étrangère. Nous sommes au temps où hier soir encore les enfants de la nation s'attaquaient dans leur quartier aux écoles mêmes où ils ont fait leurs premiers pas, incendiaient les transports en commun qui ne conduisent plus désormais leurs parents au travail, et l'euro n'aidant pas, le panier de la ménagère est plus difficile à remplir que jamais.
Et puis, il faut dire que le débat du PS n'est pas celui qu'on nous présente. Cela n'a échappé à personne, la ligne de fracture au sein de ce parti est passée par le oui. Même si, le temps d'une campagne référendaire, cette tendance s'était inversée au sein des militants, la ligne d'éclatement du PS passe précisément entre Fabius et Strauss-Kahn.
Ségolène Royal, en brave soldate, n'est là que pour lever un écran de fumée devant cette véritable scission qui menace l'entité même du Parti socialiste.
Royal et Strauss-Kahn, c'est Pince-mi et Pince-moi, et vu le peu d'aisance de la candidate favorite dans les débats, on imagine quel massacre ferait un Nicolas Sarkozy dont on n'oublie pas qu'il a été le seul homme politique de ces vingt dernières années à moucher Jean-Marie Le Pen en direct à la télévision.
Alors, pourquoi décréter que la candidature de Chevènement, ("une grande intelligence à gauche", selon Claude Bartolone) serait superflue ? Le Parti socialiste, à coups de faux sondages, désigne finalement Fabius comme le mouton noir (car il en faut toujours un) et propose un pseudo choix crucial entre Mme Royal et M. Strauss-Kahn, deuxième gauche et seconde gauche... revanche pas si inconsciente.
Sur le plan du parlementarisme, dans les nécessaires négociations des partis de gauche en vue d'une plus grande représentativité des sensibilités politiques à l'Assemblée nationale, le Parti socialiste n'a pas eu un geste pour les formations de gauche de la mouvance du non, convaincu qu'il a déjà gagné les législatives de juin 2007 ! Comment mieux enfoncer le clou de l'autosuffisance ?
Or, en 2007 le risque est élevé d'une nouvelle cohabitation entre un président choisi par défaut, et une assemblée partagée entre deux grands courants ultramajoritaires et écrasants, en accord sur bien des sujets comme un seul béni-oui-oui.
Ah, évidemment, Chevènement, ce n'est pas qu'il ait une belle gueule, ni le dentier refait, mais enfin quoi, l'élection présidentielle doit-elle ressembler à un casting ou à un comice agricole ? L'affaire est autrement sérieuse. Quel candidat aurait une meilleure légitimité présidentielle, augmentée du fait que celui-ci incarnerait une bonne partie des Français qui ont voté non en 2005 ? Augmentée du fait qu'il n'y aurait pas d'autre homme d'Etat de sa stature à gauche qui ait porté aussi clairement l'explication de ce refus franc et massif.
En 2002 , Chevènement avait réuni autour de son projet quelque 1 500 000 voix, soit 5,33%. Alors pour 2007, s'il est candidat, je lui souhaite bonne route, car soyons-en sûrs -un certain François Bayrou vient, lui, de l'apprendre à ses dépens- ce sera sans compter le sabotage des médias, dont il faut rappeler que les argentiers ont intérêt à favoriser l'exposition télévisuelle des candidats peu légitimes dans la fonction présidentielle et surtout des serviteurs zélés du néolibéralisme financier.
Lire : La faute de M. Monnet, Editions Fayard, 148 pages, 9 euros.
repris par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr
VU dans: Magazine de www. gaullisme . fr | |
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Alain JUPPÉ devrait effectuer son retour sur la scène
Le Chêne, l’association de Michèle ALLIOT-MARIE, est repris par André Baup Mairie d'Albi 16, rue de l'Hôtel de Ville 81023 Albi cedex 9. andre.baup@free.fr
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