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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 17:38
La voix de la France dans le monde
Le président de la République, dans son discours de Toulon, n'a pas sous-estimé la gravité de la crise. Mais il l'a réduite à la logique du capitalisme financier. Certes, il a eu raison de flétrir les excès de la titrisation qui a déresponsabilisé les banques, mais il n'a pas dit qui a encouragé cette "titrisation". Il a surtout fait l'impasse sur la dimension géopolitique de la crise.

Qui en effet a encouragé la fuite en avant dans l'endettement des ménages et des banques, et la dilution des risques dans une "titrisation" opaque ? Qui, sinon l'administration Bush et ce demi-dieu, Alan Greenspan, hier encensé, et jeté aujourd'hui à bas de son piédestal ? Il fallait bien sortir de la crise née de l'éclatement de la bulle technologique et financer la guerre d'Irak !

C'est cette fuite en avant qui a contaminé l'ensemble de l'économie mondiale. Mais le mal vient de plus loin encore : ce sont les Etats-Unis qui, depuis plus de trente ans, ont impulsé la globalisation financière et les dérégulations, flottement des monnaies, libéralisation absolue des mouvements de capitaux, cycle des privatisations, fin de toutes les protections à travers le GATT (Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce) devenu Organisation mondiale du commerce (OMC), mise en concurrence des territoires et des mains-d'oeuvre avec son cortège de délocalisations. Il faut rappeler qu'ils furent suivis par l'Europe, qui fit du dogme libéral son credo, à travers l'acte unique, le traité de Maastricht et le projet de Constitution européenne repris par le traité de Lisbonne.

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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 22:00

Fadela Amara

Fadela Amara finance l'école catholique... sur le budget du plan Banlieue!

 

Au lendemain de la manifestation d'hier et de la très forte mobilisation pour que l'école publique reste « une priorité » et ne subisse pas des suppressions de postes incompréhensibles, je ne peux m'empêcher de repenser à un excellent article de la rédaction du Monde pour DirectMatin ainsi titré :
« L’enseignement catholique se déploie en banlieue »
(voir l'article ci-dessous).

On y apprenait en effet que le plan Espoir Banlieue porté par Fadela Amara, secrétaire d'État chargée de la politique de la Ville, servait à financer « l'un des projets phare pour l'enseignement catholique », la construction d'un lycée flambant neuf à Sartrouville (Yvelines).

Un comble alors que Xavier Darcos supprime des milliers de postes d'enseignants dans l'école publique, y compris des postes de RASED (réseau d'aide aux enfants en difficulté), ces psychologues et enseignants spécialisés qui permettent de venir en aide très tôt aux enfants en difficulté.

Un comble quand on sait que ce plan Espoir Banlieue est très largement sous-financé et ne permet en aucun cas de répondre à l'urgence sociale et républicaine que constitue l'abandon de pans entiers de nos territoires.

Fadela Amara


Un comble aussi pour Fadela Amara autrefois présidente de Ni Putes Ni Soumises, d'un mouvement  en lutte pour la laïcité et pour l’émancipation !
On rirait presque si ce n'était si grave à l'injustice telle que la présente l'article du Monde pour DirectMatin :
« Dans le département à Sartrouville, banlieue rouge, le taux du privé plafonnait à 2%. Tandis qu'à Versailles ou Saint-Germain-en-Laye, il atteint 30% ».

L'injustice, la vraie, c'est que dans ces territoires abandonnés de la République, la puissance publique, par la voix de Fadela Amara, fuie ses responsabilités et sous-traite par choix idéologique le rôle essentiel de l'école publique à une Eglise. Il faut croire que Fadela Amara, coachée par Xavier Darcos et par Christine Boutin dont elle dépend hiérarchiquement, a fait une croix (catholique) sur ses engagements en faveur de la laïcité républicaine.

Ce type de reniement et autres retournements de veste contribuent à casser le peu de confiance que les français mettent dans la politique. Un jour nous risquons d’en payer le prix collectivement, surtout lorsque l’on observe la montée du populisme et des extrêmes en Europe.

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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 12:18

 


Jean-Marie Harribey

 

L’Humanité, 18 octobre 2008

 

Ce texte fait suite à celui que j’avais écrit au moment de la lutte contre le CPE,

« Dessine-moi un modèle », L’Humanité, 24 mars 2006,

http://harribey.u-bordeaux4.fr/travaux/travail/dessin-modele.pdf

 

« Bonjour, dit le petit prince. »

Bonjour, dit le grand banquier.

Que fais-tu ? demanda le petit prince.

Je prête de l’argent à qui en veut. Aux riches, qui m’en rendront davantage, et aux pauvres qui m’en rendront encore plus, avec des intérêts importants.

Et où prends-tu cet argent ? questionna le petit prince en fronçant les sourcils.

Je ne le prends nulle part puisque c’est moi qui le crée.

Tu fais ça souvent, comme tu veux ? Tu n’as pas de limite ?

J’ai les coudées franches parce que le banquier central ferme les yeux et j’ai convaincu le gouvernement que c’était bon pour tout le monde.

Est-ce que les pauvres pourront te rembourser ?

Sans problème, car j’ai pris soin de leur faire signer une hypothèque sur la valeur de leur logement qui ne cesse de monter.

Le petit prince se tut, réfléchit un instant et questionna de nouveau :

Pourquoi le prix des habitations augmente-t-il ? On y fait des améliorations, des aménagements ?

On n’y fait rien. Car il faudrait que les pauvres fassent un deuxième emprunt pour rénover leur maison. Non, les prix de tous nos actifs montent parce que tout le monde croit qu’ils vont monter. C’est un phénomène auto-référentiel, dit le grand banquier, en prenant un air pénétré. On inscrit tout cela dans notre bilan et les actionnaires sont aux anges.

Sur la Terre, vous ne faites donc rien et la valeur des choses s’accroît spontanément ? Comment est-ce possible ?

Ah, si, répondit le grand banquier. Nous produisons beaucoup de marchandises. Mais la production augmente lentement, à cause du prix du pétrole, des travailleurs qui veulent en faire toujours moins, des grèves, des charges qui pèsent sur les entreprises, et de bien d’autres contraintes. Alors, on pratique le métier de la finance. C’est plus rentable et ça va plus vite.

La finance est-elle totalement détachée des choses matérielles ? J’ai entendu dire que vous faisiez aussi pousser des tomates hors sol, est-ce pareil pour la finance ?

On croit que oui, mais, en réalité, non. Comme on gagne beaucoup d’argent en spéculant, ça pousse les normes de rentabilité à la hausse et ça oblige les entreprises à restreindre les coûts salariaux. Tous ceux qui ont investi du capital ont ainsi un meilleur retour. C’est le secret : la plus-value réelle d’un côté permet une plus-value boursière de l’autre.

Et tu n’as pas peur que ça s’écroule ?

Non, car il y a des médias spécialisés pour entretenir la confiance et nous avons un grand président qui a promis de tout garantir.

Et comment pourra-t-il tenir cette promesse ?

Ah, on ne t’explique donc rien sur ta planète ! Je viens de te le dire : tout marche tant que les anticipations à la hausse concomitante de la productivité et de la Bourse se poursuivent. Le président a compris qu’en travaillant, on s’enrichissait. N’est-ce point ainsi chez toi ? À ce propos, comment se porte la Bourse sur ta planète ?

Il n’y a pas de Bourse sur mon étoile, rétorqua le petit prince. La seule magie est celle de la lumière qui nous éclaire et nous chauffe gratuitement.

À cet instant, un point rouge clignota sur l’écran de l’ordinateur du grand banquier et une courbe apparut : les cours boursiers s’effondraient les uns après les autres, au point que la cotation fut interrompue. Pris de panique, le grand banquier s’enfuit, dévala l’escalier pour rattraper le cours de son action, mais en vain, le parachute doré accroché à son dos le ralentissait. La crise était là.

Le petit prince, assez décontenancé par les évènements, reprit sa marche et rencontra le renard.

Connaissez-vous souvent sur Terre des crises de cette nature ? lui demanda le petit prince.

De plus en plus souvent, hélas, car les privatisations, la diminution de la sécurité sociale et la baisse des salaires ont donné l’illusion aux financiers et à tous ceux qui ont beaucoup d’argent qu’ils pouvaient éternellement planer en l’air, en pariant sur la pérennité de cette fiction.

N’y a-t-il personne pour avertir du danger ?

Pas beaucoup. La majorité des économistes sont payés pour vanter la magie de la Bourse, par exemple pour verser des retraites, la capacité du capital à se valoriser tout seul, sans passer par la case travail, et la vertu du marché à être la clé de l’harmonie universelle.

Je ne comprends rien à votre manière de vivre, dit le petit prince. Toutes les crises ne vous servent donc pas de leçons ? Que faites-vous pour les éviter ? Sont-elles une maladie incurable ou bien les hommes sont-ils totalement dépourvus de logique ?

C’est très compliqué, répondit le renard. Les hommes ne manquent pas d’esprit logique, mais la logique du capitalisme est encore plus forte. Ceux qui tiennent l’argent ont le pouvoir et ils crient sur les toits qu’il suffit de moraliser les choses, d’écarter les brebis galeuses, sans toucher au principe sacro-saint de la propriété et de la recherche du profit.

Le petit prince montrait des signes d’incompréhension de plus en plus grands :

Dans votre système, faut-il entendre que vous bannissez la morale des relations entre les hommes ?

Le renard soupira et esquissa un geste d’impuissance :

Le système est plongé dans « les eaux glacées du calcul égoïste » et la morale est pour lui un corps étranger. Je voulais juste te dire que la proposition de le moraliser est là pour faire diversion, tandis qu’une spéculation chasse l’autre, hier sur l’immobilier, aujourd’hui sur le blé ou le riz, demain sur les énergies renouvelables, et tandis que la croissance de l’économie épuise toutes les ressources naturelles.

Les hommes ne s’inquiètent-ils pas de ce risque ?

Beaucoup de voix assurent que « le progrès des connaissances compensera l’épuisement des ressources ».

Le petit prince marqua un instant d’arrêt, puis reprit, un peu hésitant :

– Votre eau devient imbuvable, mais cela vous suffit-il de le savoir, grâce à la science ? La soif de savoir étanche-t-elle votre soif d’eau fraîche ? Au cours de mes voyages, j’ai rencontré un marchand de pilules qui enlèvent la soif, et ses clients ne savaient plus quoi faire de leur temps. « Les hommes s’enfournent dans les rapides, mais ils ne savent plus ce qu’ils cherchent. Alors ils s’agitent et tournent en rond… » Vous voulez décrocher la lune « avec les dents », grimpés sur l’échelle de la finance qui pense pouvoir atteindre le ciel. Si vous faites tomber la lune, vous n’aurez plus de marées pour rythmer vos chants et je perdrai mon réverbère sous lequel je parle aux étoiles et écoute la brise lointaine qui me parvient de la Terre.

A. de Saint-Exupéry, Le Petit Prince, 1940.

K. Marx, F. Engels, Manifeste du parti communiste, 1848.

J.P. Fitoussi, E. Laurent, La nouvelle écologie politique, Economie et développement humain, Paris, Seuil,2008.

A. de Saint-Exupéry, Le Petit Prince, 1940.

N. Sarkozy, campagne électorale 2007.

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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 09:53
GIROUETTE

Quand Nicolas Sarkozy vantait les subprimes...

Enjoy...



(Sources: Sarkozy.fr, Le Post.fr)
Une vidéo qui montre que Nicolas Sarkozy n'a pas toujours vilipendé les crédits hypothécaires, à l'origine de la crise...
Par birenbaum , choisi par la rédaction du Post
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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 14:07
(extraits) Hubert Védrine en 2006.


 

 

Première question à Hubert Védrine : que pense-t-il des sifflements qui ont interrompu la rencontre France-Tunisie de mardi soir au Stade de France et des mesures que propose le gouvernement ? «On accorde une importance démesurée à tout cela, les supporters sportifs sont ce qu'ils sont, ils ont l'habitude de se siffler, de siffler les hymnes», répond l'ancien ministre.

Le 11-Septembre était à Wall-Street, la crise financière aussi. Coïncidence ? «Non, cela n'a aucun rapport», répond Hubert Védrine». Pour autant, «le moment pendant le quel les USA ont été le seul pôle» de puissance au monde «est terminé». Pour autant, ils resteront «une hyperpuissance. Mais nous sommes dans un monde multipolaire». Cela étant, c'est «tout l'Occident qui est confronté à la monté ou à la remontée des puissances secondaires», Brésil, Chine, Inde...

Quelles seront les conséquences de la crise sur ce monde redevenu mutlipolaire ? «L'évolution va s'accélérer vers un monde plus multipolaire, la stagnation économique qui va suivre va frapper inégalement les pays, mais tout dépendra de la manière dont l'Occident va réagir et des nouvelles règles qu'on va réussir ou non à fixer», explique Hubert Védrine.

Est-ce le retour des nations et du nationalisme ? «Il n'y a qu'en Occident qu'on croyait que les nationalismes avaient disparu. La dimension patriotique, identitaire, voire nationaliste», n'a jamais disparu, estime l'ancien ministre des Affaires étrangères, pour qui «on va sortir d'une vision manichéenne» du protectionnisme «après 20 ans de libéralisme».

Faut-il repenser le capitalisme ? «Oui, bien entendu. on aurait dû, durant ces années où la dérégulation l'a emporté, écouter les régulateurs» qui avertissaient de se méfier. «C'est la bataille à venir, une fois que les pompiers seront intervenus», de tout faire pour «sauver le capitalisme en le réglementant».

Comment la France, présidente de l'Europe, se sort-elle de cette crise ? Plutôt bien, estime Hubert Védrine, pour qui «l'opposition entre mesures nationales et européennes» qui était de mise au début de la crise «était une position idiote». Autre satisfecit, accordé cette fois à Nicolas Sarkozy : «un pays important comme la France et un président énergique» ont aidé l'Europe en étant à sa tête lors de cette crise, explique-t-il.

Quant au couple franco-allemand, il devient «utilitaire» depuis «Mitterrand-Kohl», donc «les réactions sont différentes, les intérêts ne sont plus toujours les mêmes», même si «il faut deux ou trois réunions pour s'ajuster et finalement, cela fonctionne».

Hubert Védrine aurait-il voté le plan de sauvetage sur lequel le PS s'est abstenu ? «Oui, car c'était un plan utile». Et que pense-t-il du PS et de son Congrès ? «Je pense qu'une majorité solide peut s'organiser autour de Bertrand Delanoë avec les soutiens utiles de Martine Aubry et Laurent Fabius».

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 09:54








par Deligne publié dans : actu
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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 21:27
 L’éducation est notre avenir : Il ne doit pas se décider sans nous !
Appel à l’initiative de AFL - Cé - CEMEA - CRAP-Cahiers pédagogiques - FAEN - FCPE - FEP-CFDT - FERC-CGT - FGPEP - FIDL - Les FRANCAS - FSU - GFEN - ICEM-pédagogie Freinet - JPA - La Ligue de l’Enseignement - SGEN-CFDT - SUD Education - UNEF - UNL - UNSA Education
19 octobre 2008
L'image « http://www.resistancesociale.fr/bando-perso.jpg » ne peut être affichée, car elle contient des erreurs.Notre pays a cette chance extraordinaire de disposer d’un grand service public laïc d’Education. Il traduit notre choix républicain d’une société où tous les citoyens vivent ensemble. Mais imagine-t-on ce que deviendrait ce principe, sans ce tour de force de l’accueil de tous les jeunes, sans distinction, réalisé quotidiennement par notre École ?

Cette Ecole publique, que nous aimons pour ses réussites incontestables, rencontre aussi des difficultés. C’est pourquoi nous souhaitons passionnément qu’elle évolue et se transforme pour s’acquitter vraiment de sa mission démocratique : faire réussir tous les jeunes, pas seulement les plus favorisés ou les plus « méritants ».

Pour nous, ce débat et cet effort concernent tous les citoyens car, à travers l’avenir de la jeunesse, c’est celui du pays qui se joue.

Or, en lieu et place de ce que devrait nécessiter cette grande cause nationale, rassemblant largement les citoyens, à quoi assistons-nous ? Au spectacle d’une politique gouvernementale qui, au-delà des habillages, ne voit dans l’Education qu’un moyen d’économiser. Plus que tout discours, la préparation du budget 2009 en est la démonstration : 13500 suppressions d’emplois programmées, soit, dans le cadre triennal dans lequel ce budget s’inscrit, plus de 40 000 postes promis à disparition sur les 3 ans, à rajouter aux 11 200 suppressions de cette année !

Tout n’est sans doute pas question que de postes en matière éducative, mais nous affirmons que rien ne pourra se faire dans cet acharnement d’un « toujours moins de postes » ! Rien ne pourra davantage se faire avec des réformes à marche forcée encore moins lorsqu’elles aboutissent à de vraies régressions. Rien ne pourra se faire non plus si l’Etat ne cesse de se désengager de ses missions, déléguant hors de l’école ce qu’elle doit assurer pour tous.

Aussi, nous poussons aujourd’hui un cri d’alerte : cette politique va détériorer sur le long terme le service public d’Education. Elle porte tous les ingrédients pour que se développe une école à deux vitesses dans une société minée par les injustices et les inégalités.

De ce projet, nous ne voulons pas ! Nous voulons une politique éducative ambitieuse faisant avancer notre Ecole publique en mettant au cœur la réussite de tous les jeunes. Nous voulons pour cela d’autres choix. Nous en appelons à toutes celles et tous ceux qui pensent que l’Education est une richesse pour notre pays, que l’avenir se joue aujourd’hui, à toutes celles et tous ceux qui refusent que la politique suivie n’entraîne, pour de nombreuses années, le service public d’Education dans l’affaiblissement. Quelle place veut-on donner à l’Education dans notre pays ? Quel citoyen, quelle citoyenne, veut-on préparer ? Nous n’acceptons pas que la société découvre a posteriori qu’on aurait répondu à sa place, en catimini, à ces questions fondamentales !

Alors, mobilisons-nous ensemble, débattons, parlons, proposons, interpellons l’opinion, agissons sans attendre !

Rassemblons-nous tous dans une grande manifestation nationale le dimanche 19 octobre à Paris.

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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 20:47
Intervention de Jean-Pierre Chevènement au Sénat lors du débat sur la crise financière, 8 octobre 2008.

D
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12 octobre 2008 7 12 /10 /octobre /2008 14:21
Pour rappel, voici une sélection non exhaustive de textes où Jean-Pierre Chevènement alertait déjà sur les dangers du capitalisme financier et de la stratégie américaine de mondialisation.
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2 octobre 2008 4 02 /10 /octobre /2008 14:17

Jean-Pierre Chevènement a adressé dans le courant du mois de juin 2008, cet appel à une refondation de la gauche aux responsables du Parti socialiste (François Hollande), du Parti communiste (Marie-George Buffet) et du Parti Radical de gauche (Jean-Michel Baylet). Il réitère son appel à débattre de ce texte.pour lire tout l'article, cliquez au-dessus
A moins de quatre ans de la prochaine élection présidentielle qui est devenue, dans notre système politique, l’élection directrice, celle autour de laquelle toutes les autres s’ordonnent, nous devons porter un regard lucide sur le rapport des forces à l’échelle mondiale afin de créer l’évènement qui permettra d’ouvrir à la France un nouveau chemin de progrès.

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