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PrÉSentation

  • : André BAUP républicain de Gauche a la Mairie d'ALBI
  • : LE BLOG DU MOUVEMENT REPUBLICAIN ET CITOYEN DU TARN
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  baup.andre@orange.fr                               
                                  

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12 janvier 2009 1 12 /01 /janvier /2009 13:45
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10 janvier 2009 6 10 /01 /janvier /2009 14:01

 

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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 15:01
Un peu anciens ces propos mais ils illustrent parfaitement ce que vit la fonction publique aujourd'hui : enseignement, hôpital ....
Comme quoi quand on a de bonnes idées, il ne faut pas y renoncer.....
 

 

Propos de Eric Woerth Ministre de la Fonction publique (sic) rapportés par Charlie-Hebdo, tenus lors d'une réunion de la Fondation Concorde,proche de la majorité actuelle, le mercredi 20 octobre 2007 au Café Restaurant Pépita à Paris :

 

 "Les retraités de la fonction publique ne rendent plus de services à  la nation. Ces gens-là sont inutiles, mais continuent de peser très lourdement. La pension d'un retraité, c'est presque 75% du coût d'un fonctionnaire présent. Il faudra résoudre ce problème."

 

 "Le grand  problème de l'État, c'est la rigidité de sa main-d'oeuvre. Pour faire  passer un fonctionnaire du premier au deuxième étage de la place Beauvau, il faut un an. Non pas à cause de l'escalier [rires dans la salle], mais des corps. Il y a 1400 corps. 900 corps vivants, 500  corps morts [rires], comme par exemple l'administration des télécoms.  Je vais les remplacer par cinq filières professionnelles qui  permettront la mobilité des ressources humaines : éducation,  administration générale, économie et finances, sécurité sanitaire et  sociale. Si on ne fait pas ça, la réforme de l'État est impossible.  Parce que les corps abritent des emplois inutiles."

 

 "A l'heure actuelle, nous sommes un peu méchants avec les fonctionnaires. Leur pouvoir d'achat a perdu 4,5% depuis 2000." "Comme tous les hommes politiques de droite, j'étais impressionné par l'adversaire. Mais je pense que nous surestimions considérablement cette force de résistance. Ce qui compte en France, c'est la psychologie, débloquer tous ces verrous psychologiques." "C'est sur l'Éducation nationale que doit peser l'effort principal de réduction des effectifs de la fonction publique. Sur le 1,2 million de fonctionnaires de l'Éducation nationale, 800 000 sont des enseignants. Licencier dans les back office de l'Éducation nationale, c'est facile, on sait comment faire : on prend un cabinet de conseil et on change les process de travail, on supprime quelques missions. Mais pour les enseignants, c'est plus délicat. Il faudra faire un grand audit."

 

 "Le problème que nous avons en France, c'est que les gens sont contents des services publics. L'hôpital fonctionne bien, l'école fonctionne bien, la police fonctionne bien. Alors il faut tenir un discours, expliquer que nous sommes à deux doigts d'une crise majeure - c'est ce que fait très bien Michel Camdessus, mais sans paniquer les gens, car à ce moment-là, ils se recroquevillent comme des tortues."

 

 Il admet dans ses propos que les français sont satisfaits de la qualité du service public rendu par les fonctionnaires, quels qu'ils soient. C'est bien en les fragilisant de l'intérieur (sous effectif, baisse d'investissements etc.) qu'il compte rendre les services  publics impopulaires auprès des populations. Une impopularité qui lui servira de prétexte pour les privatisations à venir. Alors que ce sont  bien les attaques à l'oeuvre depuis de nombreuses années qui dégradent  la qualité des services publics.

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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 12:23
07/01/2009
PS

Strauss-Kahn garde un œil sur Solférino

Depuis Washington, DSK scrute avec attention les premiers pas de Martine Aubry et ce qu’il voit le rassure… pour son avenir.

Dominique Strauss-Kahn se frotte les mains. Le directeur général du FMI continue de scruter attentivement la situation interne au PS. Et ce qu’il observe n’est pas pour lui déplaire. Le parti lui semble durablement divisé en deux moitiés à peu près égales, l’une regroupée derrière Martine Aubry, l’autre soutenant Ségolène Royal.

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8 janvier 2009 4 08 /01 /janvier /2009 21:26

 

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 22:49

Halte au massacre

Conflit israélo-palestinien : la France doit clairement condamner la violation de la loi internationale.

Les bombardements israéliens sur Gaza, comme l’embargo mis en place contre la population civile palestinienne, sont une réponse disproportionnée violant le droit international, aux tirs de roquettes du Hamas, eux-mêmes défiant ce même droit. Ils font le jeu des franges les plus dures dans les deux camps. Ce conflit est le principal foyer de déstabilisation de toute la région. Il doit être résolu prioritairement pour éviter l’émergence d’une guerre de civilisations. La France doit clairement condamner la violation de la loi internationale. Elle doit apporter son soutien aux populations civiles victimes de ces bombardements. C’est la seule manière de préserver les chances d’une paix juste et durable entre Israéliens et Palestiniens

Pour exiger l’arrêt de l’offensive Israélienne – Rassemblement le samedi 10 janvier à 15 h PLACE DU Vigan à Albi et à 12 H à Castres, musée Jean Jaurès Place Pélisson)

 

André Baup porte-parole du Mouvement Républicain et Citoyen pour le Tarn

 

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 21:51
Des troupes israéliennes se dirigent vers le nord de la bande de Gaza, ce mercredi.

“Peu de gens en dehors de Gaza mesurent l’horreur de la situation”, par John Ging, responsable de l’ONU à Gaza

Posté par sr07 le 07 jan 2009 | Dans : Monde arabe, Proche et Moyen-Orient, Contre la guerre

 John Ging est responsable des opérations de l'UNRWA (agence de l'ONU chargée des réfugiés palestiniens) à Gaza depuis trois ans. Pour les victimes du bombardement mardi d'une école gérée par l'ONU, comme pour l'ensemble des victimes civiles de ce conflit, il espère qu'une enquête indépendante permettra d'établir les responsabilités.

Pouvez-vous décrire la situation à Gaza ?

La situation est atroce. Les habitants viennent de vivre douze jours de bombardements incessants. Personne n'est en sécurité, nulle part. Plus de 600 personnes sont mortes et 3 000 ont été blessées, et ça continue. Sans compter que la population manque de tous les produits de première nécessité, comme la nourriture ou l'eau. Les hôpitaux sont débordés, les médicaments manquent. La situation est vraiment désespérée. Mais les gens font preuve d'une grande dignité dans une situation des plus indignes.

Israël a commencé mercredi à ouvrir des corridors humanitaires trois heures par jour. Cela a-t-il amélioré la situation ?

Les points de passage étaient ouverts aujourd'hui comme ils l'étaient hier et avant-hier. Ce qui a changé, c'est qu'ils ont interrompu leurs opérations militaires pendant trois heures, pour permettre aux gens de sortir de leurs maisons chercher de l'eau et de la nourriture.

Cela ne vous a donc pas permis de répondre aux besoins les plus urgents de la population?

Notre travail ici n'a pas cessé pendant les bombardements. Mais que voulez-vous faire en si peu de temps ? Nous avons donc trois heures pour faire ce qui nous prend normalement douze heures par jour, six jours par semaine, et que nous n'avons pu faire depuis douze jours. Les camions qui acheminent les biens de première nécessité doivent être chargés, conduits, déchargés… Pour faire venir ces camions à Gaza aujourd'hui nous avons commencé à 7 heures du matin, et l'opération vient seulement de finir ce soir, douze heures plus tard. C'est une opération logistique très importante. Il ne faut pas se laisser distraire par ce joli mot de “corridor”, ces belles images de convois, ce n'est pas ainsi que cela se passe. Les soldats israéliens arrêtent leurs opérations pendant trois heures, c'est tout, rien de plus.

Un communiqué de votre agence rapporte les propos de médecins selon lesquels 50 % des blessés depuis le début du conflit sont des civils. Confirmez-vous ce chiffre ?

Je ne peux pas confirmer les chiffres avancés. Il faudra mener une enquête indépendante pour établir les faits, puis nous aurons les bilans exacts. Mais il est évident que beaucoup de civils sont tués à l'heure qu'il est. Il faudra que les responsabilités soient établies, parce que si la guerre n'est pas régulée par la loi, comme le détermine la convention de Genève, c'est la loi du fusil, et ça c'est la manière dont les extrémistes et les terroristes mènent leurs opérations. Nous devons donc nous assurer que même en temps de guerre la loi est respectée. La loi dit que les civils doivent être protégés. S'ils meurent, c'est qu'il y a un problème. Il faudra déterminer qui en porte la responsabilité.

Vous avez demandé l'ouverture d'une enquête internationale après le bombardement d'une école gérée par l'ONU. Que s'est-il passé exactement ?

Il y avait 350 familles de réfugiés à l'intérieur, et des tirs tout autour de l'école. Quarante personnes ont trouvé la mort, cinquante-cinq ont été blessées, presque exclusivement des civils. Il faut déterminer ce qui s'est passé. Israël affirme que des militants tiraient depuis l'école. Mais nous, aux Nations unies, sommes convaincus que ce n'est pas le cas car ces écoles sont sous notre contrôle. Notre personnel est chargé de vérifier qu'aucun combattant ne s'y abrite et qu'il n'y a aucun tir depuis l'école. Je fais confiance à notre personnel, mais si ceux qui nous accusent ont des preuves de ce qu'ils avancent, qu'ils les montrent et nous agirons en conséquence.

Israël va dépêcher jeudi un émissaire au Caire pour discuter d'une trêve des combats. Un cessez-le-feu vous paraît-il possible dans les jours qui viennent ?

Nous devons garder espoir qu'il interviendra le plus tôt possible. Le problème, c'est que peu de gens en dehors de Gaza mesurent l'horreur de la situation ici. Vu de l'extérieur, il peut sembler raisonnable d'attendre deux ou trois jours de plus, mais ici, des gens meurent pour rien toutes les heures. Puisque nous savons que tout cela aura une conclusion politique, et non militaire, pourquoi ne pas cesser les violences immédiatement ?

Propos recueillis par Soren Seelow

LEMONDE.FR | 07.01.09

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 09:56

 

mardi6janvierparquetjuge.jpg
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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 16:52

flickr, gadi, licence cc    APPEL AUX CITOYEN(E)S ET AUX ELU(E)S A LA MOBILISATION POUR LA POSTE

Le samedi 10 janvier 2009

Rendez-vous

devant les bureaux de poste !

Le samedi 10 janvier sera une journée nationale de mobilisation des comités locaux contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et un référendum sur le service public postal.

Nicolas Sarkozy a annoncé son cadeau de Noël : la transformation de La Poste en Société Anonyme. Nous savons ce que cela veut dire : il s’agit d’un pas de géant vers la privatisation !Cela nous ne pouvons l’accepter ! Le gouvernement veut mettre un terme à l’activité d’un des plus anciens services publics de proximité de notre pays, garant et créateur de liens sociaux. En pleine crise économique, à l’heure où la précarité et la pauvreté progressent, il s’agit de détruire un service public indispensable pour l’aménagement du territoire et la cohésion sociale. Malgré des centaines de milliers de signatures déjà récoltées par l’ensemble des organisations syndicales et politiques, malgré des manifestations d’ampleur et la popularité de notre lutte, le gouvernement s’entête sur sa décision. Face à cette obstination, il est nécessaire que l’ensemble de la population et de nos élus et élues manifeste son mécontentement le 10 janvier 2009 devant leur bureau de Poste.

Ce n’est pas au président Sarkozy de décider de l’avenir de La Poste, bien de la nation, c’est à la population qu’il revient de se prononcer sur l’avenir du service public postal afin qu’il réponde à ses attentes, par le débat public et par la voie du référendum. En ces temps où le pouvoir répond à la raison et à la mobilisation par le dogmatisme, nous savons pouvoir compter sur votre soutien, votre investissement aux côtés des postiers et de leurs organisations syndicales.

Nous avons besoin de l’investissement des militants et militantes des partis et des associations, de l’ensemble des élus et élues et bien sûr de celui de nos concitoyens et concitoyennes.

Parce que le service postal est l’affaire de tous et toutes,

c’est ensemble que nous devons être présents

devant les bureaux de Poste samedi 10 janvier 2009

pour signer massivement l’appel contre la privatisation de La Poste, pour un débat public et pour un référendum sur le service public postal. Chacun doit mobiliser autour de soi militant(e)s et ami(e)s pour faire de cette journée une réussite !

http://www.appelpourlaposte.fr/

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 16:01

gaza israël (recule).jpg
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